À feu doux est une création qui fait appel à l’éveil des sens, à la connexion des mondes multiples et à toutes les matières qui infusent dans la marmite de chaque être vivant. C’est un spectacle qui questionne le métissage, la transmission, la créolisation universelle et nous plonge dans l’intimité collective, avec la poésie, la musique, […]
Dans cette création, coproduite par le Festival de Marseille et le Mucem, l’auteur, compositeur et multi-instrumentiste Ahamada Smis fait revivre un épisode de l’histoire des Comores dans un spectacle où se mêlent sonorités traditionnelles et actuelles, création vidéo et danse contemporaine.
L’air sans lequel la vie n’est pas possible, l’air qu’il faut maîtriser pour chanter, l’air qui fait la chanson. Avec cet album, Ahamada Smis franchit une étape cruciale. Le slameur qui avait l’habitude de chantonner ses refrains, épouse ici les mélodies de bout en bout, mêle son cœur et son âme au souffle qui sort […]
« Mtoulou fait son safari musical », nouvelle création jeune public d’Ahamada Smis mêle instruments traditionnels de l’océan Indien, conte et vidéo d’animation…
« Les chants de la mer » est un conte musical, slammé et chanté qui s‘inspire des mythes et des légendes de la fondation de l’une des plus anciennes villes de l’île de grande comore, Malé, qui aurait été fondée par des djins (esprits) venus de Jérusalem.
« Kipépéo » est une création pour le très jeune public d’Ahamada Smis (à partir de 2 ans) dans laquelle il conte et joue des instruments de l’Océan Indien, accompagné d’un marionnettiste…
Ahamada Smis nous conduit avec son projet « Origines » au cœur de l’océan Indien. Le poète et musicien franco-comorien présente sur scène, « Origines » (Colombe Records), son nouvel album paru en novembre 2013. Il est accompagné notamment par Soubi au gaboussi et dzenzé et par Mohamed Issa Matona au oud, violon et ngoma.
Dans l’archipel des Comores, comment choisissait-on les guerriers? Et tout particulèrement leur chef? Par son physique? Son habileté au combat? Rien de tout cela! L’art de la parole prévalait, et pour être nommé à la tête d’une armée mieux valait maîtriser cet art: le nyandou.
